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Préface de Constant VAUTRAVERS

Membre de l'Académie des sciences, des lettres et des Arts de Marseille

Co-fondateur de l'école de Journalisme et de Communication de Marseille

Ancien Rédacteur en Chef du Journal "Le Provençal"

Auteur de nombreux ouvrages littéraires

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« L’eau, le sable, et l’honneur ! »

Un homme se penche sur son passé : non pas comme un vieillard, mais comme un adulte bien installé dans son présent.

S’il s’est décidé à cette initiative, c’est que dans son cœur, dans sa mémoire restent incrustées les années d’enfance, de jeune homme et d’adulte implacablement bouleversées par les tragiques événements que tant d’autres, comme lui, ont subi, dans sa ville natale d’Oran comme dans d’autres villes de l’Algérie des années soixante. Période qui fut cruellement marquée par la lutte de factions algériennes « dures », ses attentats, ses massacre aveugles, et par les réactions de l’armée française contre cette rébellion. L’armée française dont une partie des chefs a finalement rejoint les Pieds-Noirs dans leur opposition au gouvernement présidé par le général de Gaulle.

Comment cette Algérie, la première dans l’histoire coloniale française des années 1830, qui avait contribué au développement économique et humain de ses habitants anciens et nouveaux, avait-elle pu s’embraser à ce point, pour aboutir finalement à un accord sur l’indépendance algérienne signé entre le gouvernement de Paris et les chefs de la rébellion.

L’enfance heureuse de l’auteur dans « Oran la belle » s’inscrit dans ce récit « d’eau et de sable », qui se mêlent et se séparent au gré de la puissante respiration de la Méditerranée.

La jeunesse et les premières années de l’âge adulte où, malgré tout ce qui s’est détruit ou déchiré entre les hommes, le jeune Nicolas Dorval met son honneur à servir son pays, apportent un souffle d’air vivifiant. Le jeune officier lancé au cœur du désert du Ténéré, reste à nos yeux comme le symbole d’un jeune homme d’honneur.

Nombreux seront les lecteurs de ce récit, de ce témoignage vrai. L’honneur, vous savez, est une denrée rare !