Le livre de Claude, je l'ai bien apprécié, surtout, il va s'en douter, pour sa partie saharienne (même si je connais mieux les Touareg que les Toubou, ma géographie n'ignorait ni le Tibesti, ni l'Aïr, je vous fais grâce du Borkou et de l'Ounianga -pédant que je suis, mais tout cela a ressurgi dans ma mémoire-).
Un exemplaire est en train de s'envoler pour Mayotte, à destination de mon fils aîné, qui a servi au Tchad et en Centre-Afrique (qui fut l'Oubangui-Chari) du temps où il était capitaine (ORSA ) au régiment de spahis. Il va aimer.
Je me propose d'ajouter un commentaire sur le "Jeune homme" ayant vu sur Amazone qu nul ne s'y était encore risqué.
Claude, j'ai lu ton bouquin, je le trouve très bien écrit, beaucoup de "littéraires " de formation en sont bien incapables..
Il m' a donné en fait la sensation de lire deux œuvres:
- la première, un reportage sur une enfance et une adolescence à Oran qui par simple translation aurait pu être la mienne.( les pièces du pitchac s'étaient transformées en bouts de chambres à air, le twist avait succédé au rock, le Lycée quelques années avant..)
- la deuxième, du Frison Roche avec un clin d'œil vers le Désert des Tartares...
L'ensemble passionnant.
Amitiés.
Françoise, j'ai bien aimé le livre de ton mari : intéressant pour les parties relatives à l'Histoire, il se lit avec bonheur, les mots provençaux lui donnent une saveur particulière (quels veinards, ces gens du midi, pour les odeurs, les couleurs, les paysages - enfin, ceux qui n'ont pas encore été massacrés, c'était sûrement mieux à cette époque là), en bref, je conseille vivement sa lecture.
J'ai fini le livre et j'ai beaucoup apprécié. J'ai même relu les passages sur la Provence.
A la lecture du roman je me suis promené dans mon enfance et pleins de souvenirs me sont revenus : j'ai fait le boulevard à St Eugène, dansé aux castors de Dar Beida et flirté sur la musique des platters. Nostalgie quand tu nous tiens....
J'ai acheté et lu le livre de Claude un mot : MAGNIFIQUE ! Felicitations Claude Qu'il est doux de se replonger dans ses racines ...
Claude, c'est à mon tour à te féliciter pour ce beau roman qui m'a transportée dans notre beau pays où je me suis reconnue dans les jeux de rue bien que je sois une fille. Lorsque tu nous décris la Provence de tes ancêtres j'ai l'impression de sentir à travers les mots de ton livre les parfums de la lavande et autres plantes. A travers ce roman j'ai redécouvert un paysage que j'ai connu et tu m'as fait rêver. Pour la partie militaire dans le Ténéré c'est formidable quand tu nous décris les nuits à la belle étoile et les missions mais Nicolas était bien seul et j'ai apprécié ses escapades et ses amours qui ont donné un peu de piquant à ton roman. Je te remercie pour le bonheur que tu m'as donné en lisant ton livre. Je t'embrasse.
Bonjour CLAUDE, j'étais dans les cent premières pages du livre "Un Jeune Homme d'Honneur" et déjà j'étais impatient de connaitre la suite. Les premières pages ont fait ressortir de ma pensée tous ces souvenirs depuis le cours préparatoire jusqu'au C.M.2 de l'école annexe d'instituteurs. Le paragraphe d'ORAN LA BELLE où tu énumères tous les jeux que nous avions dans le quartier. Dans la deuxième partie de ton roman le Sous Lieutenant NICOLAS chef de section à 21 ans nous montre le sérieux et le patriotisme que nous avions dans cette belle ALGERIE. Ne pas être classé B.S.A. au recrutement était pour un garçon un déshonneur.
Bravo pour toutes les missions effectuées dans cette partie d'Afrique, le fameux désert du TENERE. Tes explications et les détails sur les sorties en missions nous les vivons à tes côtés.
Encore un grand BRAVO pour ce merveilleux roman et au prochain. Reçois Claude avec toute mon amitié mes félicitations sincères et chaleureuses.
Mon ami Laurent Dreyfus a adoré le livre, il a trouvé ce livre tellement passionnant qu'il attend la suite, car et c'est vrai on reste un peu sur notre faim .
Cette lettre de Notre compatriote Claude Nal à cet integristophile.... Français (je suppose) est remarquable tout autant que l'est "son livre" qu'il m'a dédicacé et que j'ai échangé avec le "mien" lors du dernier salon du savoir-faire PN. Je l'ai lu et je vous le recommande car il "PARLE VRAI". Il s'intitule: UN JEUNE HOMME D'HONNEUR. Il vous permettra de mieux connaître ce pied-noir de haut niveau.
Bonjour Claude, j'ai commencé la lecture de ton livre "Un jeune homme d'honneur" qui me captive depuis la première page et que je vais dévorer assez rapidement, tout en me délectant.
Deux jours après la soirée du Yachting Club, j'ai acheté votre livre "Un jeune homme d'honneur".
Je l'ai recommandé à des amis car je le trouve très vivant et réaliste.
"Un jeune homme d'honneur" a trouvé une place de choix dans mes lectures .
J'ai lu ce roman certainement très autobiographique avec grand plaisir . Il était important pour moi d'avoir le regard d'un homme de mon âge, né sur cette terre d'Algérie . Nos chemins se sont croisés à Oran, dans cette période tragique d'avril 1961 à avril 1962. Pendant cette année, je me suis posé beaucoup de questions sur ce conflit et aujourd'hui encore je suis dans l'incertitude compte tenu de ce qu'est devenu ce pays et ses habitants ? Je comprends le déchirement de la population "pieds noirs" mais quel prix aurait-il fallu payer pour garder français ce territoire ? Jeune sous-officier de l'armée de l'air à La Senia, je n'avais pas conscience de défendre une cause juste et participer au maintien de l'ordre dans la ville d'Oran, entre O.A.S. et F.L.N. n'était pas chose facile pour le jeune Limousin que j'étais.
J'ai cependant gardé d'Oran de bons souvenirs et eu quelques amis pieds-noirs aujourd'hui perdus de vue .
Après une première lecture de ce roman, si peu roman mais historique, je vais analyser plus complètement certains passages . Belle écriture, belle construction, je voudrais bien avoir ce talent pour écrire moi aussi sur ma jeunesse et le séjour qui a sonné la fin de l'Algérie française.
Félicitations pour le site de Claude : c'est ça le professionnalisme !!
Au début de ce récit, c’est une belle description des paysages de Provence et de la ville d’ORAN avec tout ce qui l’entoure (vie courante, mer, sable, etc…). On s’imprègne bien de l’atmosphère. Il n’en faut pas plus pour rentrer dans le livre et se mettre dans la peau de l’auteur. Et dès les premières lignes, on voyage, on s’évade ! Evidemment, les passages sur les affrontements sont terribles et on imagine bien cette existence effrayante, enfin l’horreur. Comme tout cela est bien décrit, cela passe tout seul et se lit très facilement. Toute cette histoire n’est pas ennuyante, car voyez-vous, dans les livres relatant des guerres ou des attentats que j’ai eu l’occasion de lire, je dois l’avouer, c’était un peu ennuyeux. Je peux vous le dire franchement, je me suis régalée en lisant ces lignes.
Quand Nicolas embarque à MARSEILLE pour son autre vie (comme il dit) en AFRIQUE OCCIDENTALE et qu’il est nommé officier, tout cela est bien narré. Quant à ses flirts sans lendemain, quoi de plus naturel pour un jeune homme voyageant loin de tout. D’ailleurs, j’ai été très émue par cette fille “ BINTI“, fille du chef d’un village qui se donne à lui, afin de le remercier de l’avoir menée auprès de sa grand’mère mourante, au prix de la désobéissance militaire. C’est un geste humanitaire qui fait de lui un jeune d’honneur.
En conclusion, je dirais que ce livre est une réussite ; en plus il nous fait comprendre qu’il ne faut pas oublier ces soldats français d’ALGERIE qui se sont battus et sacrifiés pour sauver notre pays.
Félicitations.
Bonjour Claude. Merci pour ce beau roman qui est un peu le roman de notre vie. Nous avons le même âge que Nicolas et avons vécu en parallèle son épopée Oranaise : mêmes émotions, même ciel, même mer, mêmes jeux, mêmes odeurs, mêmes événements etc... Et la Provence : notre terre d' accueil que nous affectionnons particulièrement. Je souhaite à Françoise et Nicolas un bel avenir. amicalement